La culture des poivrons présente ses propres subtilités, et même les jardiniers expérimentés ne les maîtrisent pas parfaitement. Le repiquage, par exemple, suscite des interrogations. Les maraîchers se demandent souvent s'il est nécessaire pour cette plante, car son système racinaire est réputé très fragile.
Mais en même temps, les plantes ont besoin d'espace pour pousser, ce qui ne peut être fourni en cultivant de nombreux semis dans une seule boîte exiguë.
C’est précisément ce qui plaide en faveur du rempotage, mais si vous décidez de le faire, vous devez vous familiariser avec toutes les règles, car les racines fragiles sont vraiment très faciles à endommager, et leur restauration (si elle est même possible) prendra du temps.
Est-ce vraiment nécessaire ?
Avant d'aborder les avantages et les inconvénients, il est important de comprendre ce qu'est le repiquage. Il s'agit du processus de transplantation de jeunes plants d'un conteneur commun vers des pots individuels. Ce procédé agricole essentiel permet d'acclimater la plante à la transition. De plus, il contribue à lui fournir les nutriments optimaux et favorise la croissance de jeunes plants robustes et sains.
On procède ainsi afin de pouvoir les transplanter ultérieurement à leur emplacement définitif. Parfois, plusieurs graines germées sont semées simultanément dans un même récipient, et après la germination, on ne conserve qu'un ou deux des plants les plus vigoureux. Une fois que les jeunes plants se sont bien enracinés et qu'il est temps de les planter, on les transvase avec la terre (afin de limiter les risques d'endommagement des racines). Cette méthode est appelée transvasement.
Lors de plantations denses, il est conseillé de séparer les jeunes plants le plus tôt possible, car avec le temps, les pousses commencent à se faire de l'ombre et leurs racines s'entremêlent étroitement, ce qui complique le processus.

Les jeunes plants ne remarquent souvent même pas le changement d'emplacement, mais pour les plants plus âgés, ce processus est assez pénible. Si le poivron est cultivé en caissette, en barquette ou à plusieurs par pot, cette procédure reste nécessaire à sa croissance et à son développement normaux.
Avec ou sans…
Avantages et inconvénients de la procédure
Malgré tous ses inconvénients, la cueillette présente un certain nombre d'avantages :
- Il peut augmenter les rendements des cultures, puisqu'il permet de semer une grande quantité de matériel de plantation ;
Ce procédé consiste à supprimer le point de croissance de la racine principale. Cette étape stimule le développement des racines adventives et latérales, situées dans la couche supérieure du sol, la plus fertile. La plante peut ainsi recevoir davantage de nutriments, ce qui favorise son développement et sa croissance, et permet la production d'ovules à fruits de grande taille.
- La plante qui a subi ce traitement possède une tige plus robuste, ce qui empêche les dommages et la casse ;
Seuls les plants vigoureux et en bon développement sont sélectionnés. Les plants sous-développés et faibles sont éliminés, car ils ne produiront plus la récolte escomptée et, par conséquent, ne nécessiteront pas d'efforts, de temps ni de coûts d'entretien supplémentaires.

- favorise un bon développement du système racinaire, qui maintient parfaitement la partie aérienne même en cas de fortes rafales de vent ;
- lutte opportune contre les maladies ;
Lors de la culture de semis, toutes les plantes sont inspectées afin de détecter d'éventuels signes de maladie, comme la jambe noire. Une taille opportune permet d'éliminer les plants malades et ainsi de préserver les plants sains. De plus, si elle est effectuée avec soin, le système racinaire se développera plus robustement, le rendant moins vulnérable à la plupart des maladies, telles que la fusariose et le puceron apical.
- Après cela, la plante développe beaucoup mieux ses racines fibreuses, fournissant aux pousses les substances et l'humidité nécessaires ;
- Permet de gagner de la place entre les semis et la plantation à un emplacement permanent.
En effet, semés trop près les uns des autres, les jeunes plants s'étouffent mutuellement et les nutriments disponibles dans le sol deviennent insuffisants. Si le semis nécessite un espacement de 2 à 3 cm entre les trous, le développement complet des plantes est possible avec un espacement d'au moins 35 à 40 cm.
Parmi les inconvénients, on peut citer une plantation exigeante en main-d'œuvre, nécessitant une extrême prudence pour éviter d'endommager les racines. Des changements de terre fréquents peuvent entraîner des maladies ou une infection généralisée des jeunes plants. Les plants repiqués fructifient plus tardivement, car après la transplantation, ils développent activement leur système racinaire, tandis que la partie aérienne de la plante ralentit sa croissance.
Échéances
Diviser les jeunes plants trop tôt peut retarder leur développement ultérieur, voire les tuer complètement, car ils n'auront pas assez de force pour s'adapter aux nouvelles conditions de croissance.
Le moment optimal pour repiquer les plants se situe 15 à 20 jours après l'apparition des pousses. À ce stade, les tiges doivent avoir développé 2 à 3 feuilles complètes, et non plus seulement des cotylédons. Les plants ne possédant que des cotylédons ont un système racinaire faible et ne pourront pas s'implanter durablement à leur nouvel emplacement.
Une étape importante de la culture des plants de poivron consiste à préparer le sol au préalable. Ce dernier doit être composé d'humus, de terreau et de sable de rivière, qui facilite l'ameublissement. On peut utiliser de la tourbe de marais à la place de l'humus. L'engrais organique doit représenter au moins 30 à 45 % du mélange total.
Il est conseillé d'ajouter un supplément minéral au terreau obtenu, notamment du superphosphate, du potassium et du nitrate d'ammonium. Une couche de drainage est d'abord placée au fond des pots ou autres récipients préparés afin de permettre l'évacuation de l'excès d'humidité et d'éviter l'oxydation du sol.
Règles pour la prise en compte du calendrier lunaire
Les poivrons appartiennent à la famille des solanacées ; leur rendement dépend donc principalement de la santé de leur système racinaire et d'une transplantation réussie. Il est généralement admis que les phases de la lune influencent directement tous les organismes aquatiques, ce qui vaut également pour les plantes.
La nouvelle lune est considérée comme défavorable à la croissance et au développement des plantes, car l'eau riche en nutriments est concentrée dans le système racinaire, et il est trop risqué de le détruire en le divisant. Il est donc recommandé de s'abstenir de rempoter pendant la nouvelle lune.
La phase de lune croissante s'accompagne d'une croissance active et de la prospérité des plantes, lorsque tout le nectar nutritif passe rapidement du système racinaire aux feuilles et aux fleurs, et est également dirigé vers la formation des ovaires.
Par conséquent, la lune croissante est le moment idéal pour repiquer les jeunes plants afin qu'ils deviennent des plantes adultes et productives. Même si leurs racines sont endommagées, la plante a toutes les chances de se rétablir rapidement et de poursuivre sa croissance.
La pleine lune se caractérise par une accumulation des éléments nutritifs les plus bénéfiques dans la partie aérienne des jeunes plants et une vulnérabilité accrue de leur système racinaire. C'est pourquoi la pleine lune, tout comme la nouvelle lune, est une période défavorable à nos travaux. Il convient donc d'éviter ces travaux.
Durant la lune décroissante, les nutriments retournent progressivement aux racines les plus profondes, leur assurant la force nécessaire à leur croissance et à leur renforcement. Cette phase est propice au rempotage des jeunes plants, mais elle exige une attention et des soins particuliers.
Ainsi, en 2024, les jours les plus favorables à notre travail sont :
- Février : 11-23 ;
- Mars : 11-24 ;
- Avril : 9-23 ;
- Mai : 9-22.
Défavorable:
- Février : 10 et 24 ;
- Mars : 10 et 25 ;
- Avril : 8 et 24 ;
- Mai : 8 et 23.
Le reste : neutre.
Le processus étape par étape
Comme le repiquage endommage les racines, il est préférable d'utiliser une méthode de transplantation plus sûre, comme le semis en godets ou en terrines. Lors du semis, placez les graines dans un même récipient afin de les espacer et d'éviter que leurs racines ne s'entremêlent.
Quelques heures avant, arrosez abondamment la terre pour qu'elle retienne bien les racines et ne s'effrite pas. Cette terre sera beaucoup plus facile à retirer de l'ancien contenant. Ensuite, préparez le nouveau contenant : pots individuels, gobelets ou un contenant compartimenté.
Les contenants et le terreau doivent être désinfectés (une solution de permanganate de potassium peut être utilisée). Remplissez les contenants au tiers avec du terreau frais, puis commencez le processus principal :
- À l'aide d'un petit outil (cuillère ou spatule), retirez délicatement les jeunes plants de poivron de leur ancien contenant. Il est préférable de les séparer un par un. Si vous parvenez à en extraire deux ensemble, séparez-les délicatement à la main et plantez-les dans des pots individuels.

Pousses de poivron - On creuse un petit trou dans la terre fraîche et on y place les jeunes plants de manière à ce qu'ils soient à la même profondeur que dans le conteneur précédent.

Planter dans le sol - Les racines sont recouvertes de terre et légèrement compactées afin que la pousse soit fermement ancrée dans le sol.
- poivrons plantés arrosé avec de l'eau chaude.

Si la terre s'est beaucoup tassée après l'arrosage, il faut ajouter un peu de terre par-dessus.
Les experts soulignent que la position des racines dans le sol est cruciale pour le développement ultérieur de la plante. Il est important qu'elles ne soient ni courbées ni tordues dans le sens inverse des aiguilles d'une montre. Les maraîchers expérimentés recommandent de planter le jeune plant profondément dans le sol lors du repiquage, de le recouvrir de terre, puis de le déterrer délicatement. Cette méthode permet de redresser les racines et de leur assurer une bonne position sous terre.
Dans des tasses
L'étape la plus importante consiste à manipuler les jeunes plants avec une extrême précaution, car il est très facile d'endommager leurs racines lors du rempotage. Arrosez-les abondamment plusieurs heures à l'avance afin de réduire les risques d'endommager leur système racinaire lorsque vous les retirez de leur pot d'origine.
Le prélèvement dans les tasses s'effectue comme suit :
- Remplissez les godets de terreau et tassez-le bien. À l'aide d'un crayon, creusez un trou profond au centre de chaque godet et arrosez-les d'eau tiède.
- À l'aide d'une petite spatule ou d'une cuillère à soupe, retirez délicatement un germe à la fois de la boîte.

Extraction des germes - Le plant est mis en terre suffisamment profondément pour permettre aux racines de se développer librement. Pour ce faire, enfoncez d'abord le plant de poivron légèrement plus profondément dans le sol, recouvrez-le de terre, puis soulevez-le légèrement. Cela permettra aux racines de prendre leur position sous terre.
- La terre autour de la plante est compactée afin que le jeune plant tienne bien droit dans le godet.

compactage du sol - Les plants repiqués sont légèrement arrosés avec de l'eau à température ambiante.
Il est préférable de continuer à cultiver les plantes transplantées à l'endroit même où elles se trouvaient avant la transplantation. Un changement d'environnement peut ralentir la croissance des jeunes plants, car ils auront besoin de temps pour s'adapter.
En couches
Les maraîchers expérimentés recommandent de faire pousser les semis dans des « couches », car cette méthode permet d'économiser de l'espace et des contenants. Un sac en plastique est le plus souvent utilisé comme couche.
Si vous faites pousser des poivrons dans un godet, arrosez-le d'abord, puis déroulez-le délicatement sur une surface plane. Si vous les faites pousser en caissettes, arrosez-les à nouveau et retirez délicatement les germes un à un.
Le processus de passage aux couches comprend les manipulations suivantes :
- Le sac en plastique est nivelé et un peu de terre humidifiée (environ 3 cuillères à soupe) est versée sur la surface ;
- le plant extrait est placé sur une couche de sorte que les feuilles inférieures soient au-dessus de son bord ;
- Le système racinaire est saupoudré d'une cuillère à soupe de terre ;

Couvrir le système racinaire - Enroulez soigneusement le film plastique en repliant le bord inférieur pour éviter que la terre ne s'échappe. Vous obtiendrez ainsi des rouleaux que vous pourrez maintenir en place avec des élastiques. Placez les semis dans des contenants sans trous et exposez-les dans une pièce lumineuse.

Semis dans le film
L'avantage de la technique du « blotting » réside dans la facilité de plantation ultérieure en pleine terre. Il suffit de dérouler chaque rouleau et de transplanter les jeunes plants fortifiés à leur emplacement définitif. Cette méthode garantit que les racines restent intactes et non endommagées.
suivi post-opératoire
Immédiatement après la transplantation, les godets contenant les plants sont placés dans un endroit chaud et lumineux, à l'abri du soleil direct pendant quelques jours. Si les jeunes plants poussent au même endroit qu'avant la transplantation, ils s'adapteront beaucoup plus rapidement que s'ils sont transférés dans une serre au microclimat différent.
Les jeunes plants doivent être arrosés tous les 5 à 6 jours. Le premier arrosage doit être effectué une semaine après la transplantation. Arroser à l'eau tiède le matin aide à prévenir les maladies. Avant la plantation au jardin, les jeunes plants sont fertilisés deux fois : 10 à 14 jours après la division et deux semaines après le premier apport d'engrais.
L'engrais doit être liquide et appliqué uniquement sur un sol humide (immédiatement après ou en même temps que l'arrosage). Pour une première application, vous pouvez utiliser la solution suivante :
- 10 g de nitrate d'ammonium ;
- 30 g de sulfate de potassium ;
- 40 g de superphosphate ;
- 10 litres d'eau.

Si nécessaire, vous pouvez nourrir les jeunes poivrons avec des oligo-éléments : ajoutez environ 1 g de sulfate de zinc, 2 g de sulfate de cuivre, 1 g d'acide borique et jusqu'à 2 g de permanganate de potassium à 10 litres d'eau.
Vous pouvez ensuite commencer à acclimater les jeunes plants. Les godets sont alors placés à l'extérieur, afin d'acclimater progressivement les plantes aux conditions extérieures. La température ambiante ne doit pas descendre en dessous de 15 °C pendant cette période.
Erreurs possibles lors de la plantation des poivrons
L'erreur la plus fréquente chez les jardiniers débutants est de choisir le mauvais moment. Ils pensent souvent que la plantation doit être effectuée lorsque les plants n'ont que 2 ou 3 feuilles, car leur système racinaire commence à peine à se développer et est plus résistant. Or, les plants plus âgés, qui ont 4 à 6 feuilles, possèdent des racines bien développées, ce qui rend très difficile d'éviter de les endommager lors de la plantation.

Le diamètre du pot (ou de la tasse) ne doit pas dépasser 8 cm. De plus, le récipient doit être muni de trous de drainage.
Après vous être familiarisé avec les spécificités de cette plante, vous apprendrez que les poivrons ne développent pas de racines supplémentaires comme les tomates. Il est donc important de ne pas laisser leurs tiges s'enfoncer trop profondément dans le sol. Les jeunes plants doivent être mis en terre à la même profondeur qu'avant le repiquage.
Les erreurs fréquentes incluent également un arrosage excessif et une fertilisation inadaptée. Après la fertilisation, arrosez les poivrons immédiatement et attendez au moins 5 à 7 jours avant d'arroser à nouveau. Les jeunes plants peuvent paraître légèrement flétris au début, mais ne les fertilisez pas tout de suite ; attendez au moins 14 jours.
Comment faire pousser sans cueillir
Cultiver des poivrons sans semis est tout simplement impossible pour les personnes vivant sous des climats tempérés. Et sous des climats froids, la culture ne peut porter ses fruits qu'en couches chaudes et sous serres. Les jardiniers de ces régions, soucieux de ne pas perdre de temps à restaurer les racines après la transplantation, préfèrent semer directement les graines dans des godets individuels, deux ou trois à la fois, puis sélectionner le plant le plus vigoureux.

Les pastilles de tourbe spéciales sont devenues populaires récemment, mais elles ne sont pas idéales pour les poivrons. Leur enveloppe est en carton, un matériau qui se dissout mal dans le sol. Par conséquent, le système racinaire mettra beaucoup de temps à traverser cette barrière. Les maraîchers constatent d'ailleurs que le carton retarde considérablement la croissance des jeunes plants.
On peut cultiver des légumes dans des cylindres en film plastique ou en papier. Le papier journal est idéal car il se désagrège rapidement au contact de l'eau, laissant ainsi la place aux racines. Les cylindres en plastique, quant à eux, sont faciles à dérouler et à retirer du sol sans abîmer les racines.
Si les plantes sont cultivées en godets individuels, cessez de les arroser quelques jours avant le repiquage. Pendant ce temps, la terre aura le temps de se tasser légèrement et de se détacher des parois du contenant, ce qui facilitera grandement le retrait de la motte.
Les jardiniers précisent que cette plante possède un système racinaire compact ; les godets de plantation ne doivent donc pas être trop profonds. Ils recommandent de rempoter avant que les racines n'atteignent les bords du godet (lorsque la plante n'a pas encore colonisé tout le terreau). Il est préférable de choisir des contenants assez larges.
Avis
Sergey : « Je cultive des plants de poivrons depuis de nombreuses années, je connais donc très bien le repiquage. Je les divise dans des gobelets en plastique jetables après l'apparition de la cinquième feuille, vers la fin mars. Ils poussent dans les gobelets jusqu'à leur plantation en serre (jusqu'à la mi-mai). »
Dès que les pousses commencent à se fendre, j'enlève toutes les feuilles et les fleurs jusqu'à la base. Cette méthode stimule la croissance et favorise une fructification abondante.
Natalia : J'ai souvent entendu dire que les poivrons supportent mal la transplantation ou que leurs tiges ne sont pas plantées trop profondément. Malgré cela, mes plants poussent bien après la transplantation et aucun n'a été endommagé. Lorsque les tiges deviennent ligneuses, elles développent des racines supplémentaires que je recouvre de terre.
Lors de la plantation des semis en pleine terre, je peux enfoncer les tiges d'environ 1 cm. Les rendements sont toujours stables ; l'essentiel est de les planter dans un sol chaud.
Vitaly : « Si vous ne repiquez pas les jeunes plants, ils pousseront mal. Plantés en pleine terre, ils deviendront chétifs et donneront de mauvais fruits. Les plants ne sont pas particulièrement sensibles au repiquage ; s’ils ont beaucoup de feuilles, ils supporteront l’opération sans problème. L’important est de les retirer avec la motte. »
Roman: « Il y a quelques années, 10 % de mes semis mouraient après la transplantation. C'était probablement dû à des racines endommagées. On m'a conseillé de les séparer dans des pots individuels après l'apparition de 7 à 9 feuilles. Maintenant, 99 % des semis survivent jusqu'à leur transplantation en serre. »
Marina: « Je cultive mes légumes à partir de jeunes plants et je ne les ai jamais repiqués. Les poivrons n'aiment pas être transplantés, alors je sème les graines dans des godets individuels, deux à la fois, puis je les plante en pleine terre. Je fais très attention lors du repiquage, car abîmer les racines peut ralentir la croissance. »








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